Description

L’encens “Olibanum” (peut être utilisé avec la Myrrhe)

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Boswellia Sacra (Royal), d’Oman. – 50 grammes –

50 grammes de Boswellia Sacra
Sac, moitié lin
Pince
Encensoir
Pack de charbon de bois

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Produits légendaires de la nature

Ils sont cités dans de multiples civilisations, utilisés pour les cérémonies religieuses et pour des remèdes médicaux depuis des temps immémoriaux.

Les peuples de l’Inde, les sumériens, les babyloniens, les perses, les grecs, les romains, les chinois, les africains, les égyptiens et les anciennes civilisations du continent américain : tous les utilisaient pour de multiples usages de santé, spirituels et physiques.

Lorsque le Boswellia ou la Myrrhe rentre en contact avec le feu, elle dégage une fumée odorante et agréable, le principe “souffre” en alchimie : “l’huile”.

L’esprit de cette gomme-résine remplit la maison.

Elle a une action fréquentielle et provoque sur les plans émotionnels et mentaux un état de calme.

L’encens est encore aujourd’hui principalement utilisé pour purifier les lieux, pour les prières, les louanges, les bénédictions dans toutes les civilisations. Il est utilisé également en préparations médicinales depuis plus de 10000 ans.

L’encens résine “Oliban” est produit à partir d’une résine provenant d’un arbre appelé “Le Boswellia Sacra” de la famille des “Burséracées” dans l’actuelle sultanat d’Oman. Il existe d’autres lieux de production : la Somalie, le Yémen et l’Inde où il est surtout produit le “Boswellia Serrata, Carterii et Frereana” (pour n’en citer que quelques-uns).

La Myrrhe est une gomme résine produite par l’arbre le “Commiphora Myrrha”.

Les égyptiens connaissaient l’encens et la Myrrhe depuis l’époque de Sumer et en faisant un composant du “Kyphi”.

Pour les hébreux, c’est l’un des principaux composants d’une huile d’onction sainte. Le parfum de la Myrrhe est mentionné sept fois dans le “Cantique des Cantiques”dit aussi Cantique ou Chant de Salomon, est un livre de la Bible.

La reine Sheba transporta l’encens “Boswellia Sacra” à Jérusalem (La Salem) pour sa rencontre avec le roi Salomon (Melchizédech).

Selon Hérodote, le jeune Phénix embaumait la dépouille de son père dans un œuf de Myrrhe.

Hippocrate, Plutarque, Pline l’Ancien, citent l’encens comme remède pour de multiples usages.

Alexandre le Grand cite l’encens dans le texte de ses aventures aux Indes où les gardiens de “l’Oracle, de l’Arbre, du Soleil et de la Lune” vivent dans un écrin d’arbres à encens.

Un mythe raconte qu’Adam aurait reçu de l’or, de l’encens et de la Myrrhe de Dieu en guise de consolation pour avoir perdu le paradis…